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 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE

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MessageSujet: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitimeVen 4 Avr 2014 - 16:57

17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Bretag10

17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Affich19


Dernière édition par Lili-Vanille le Ven 2 Mai 2014 - 8:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitimeSam 12 Avr 2014 - 22:17

TRADUCTION EN FRANCAIS DU TEMOIGNAGE DE Anda Popescu :
https://www.facebook.com/anda.popescu.77
" J’ai récemment été dans un refuge public en Roumanie.
L’idée même m’avait choquée car,depuis le début de la folie qu’est ce massacre de chiens errants, je ne pouvais rentrer dans le refuge public de Moreni ; je craignais d’en devenir dingue.
Mais j’ai voulu y aller pour aider à les faire tous stériliser.
Je savais que ce serait quasiment impossible pour moi de résister à la tentation de cognerles têtes des « dogcatchers » - ceux qui chassent et attrapent les chiens errants – avec quelque chose, peut-être avec ces pinces métalliques recouvertes de sang avec lesquelles ils attrapent les chiens dans la rue.
Qu’importe ; j’y suis allée dans l’objectif de terminer le travail à faire.
J’avais aussi imaginé un plan très naïf qui me permettrait de montrer autant de
gentillesse que possible à ces pauvres chiens ; je voulais qu’ils sachent qu’ils ne sont pas seuls, qu’ils ne sont pas inutiles et qu’il y a quelqu’un dans ce monde qui les aime.
J’ai fait de mon mieux ; mais la plupart d’entre eux avaient l’âme tellement détruite qu’ils ne réagissaient plus à rien.
Les mots que je disais tombaient sur les carcasses vides de ce qui fut jadis des
chiens aimants et intelligents, qui faisaient confiance à l’Homme, et dont il ne restait que la peau et les os, des esprits démolis, des regards vides de tout sauf la terreur et dans lesquels je ne pouvais rien lire.
Certains me montraient les dents, d’autres reculaient dans un coin dès la moindre tentative de caresse, et encore d’autres ont essayé de me mordre.
Tous voulaient qu’on les laisse seuls, que tout disparaisse : nous, eux, le monde entier.
J’aimais les voir dormir sous l’anesthésie car au moins pendant une heure ou deux, l’horreur, la peur, la douleur et la faim ne les toucheraient plus et il pouvait toujours y avoir de l’espoir d’un réveil dans un foyer aimant et que tout ce qu’ils avaient souffert ne soit qu’un cauchemar.
Je les regardais se réveiller ; seulement quelques-uns étaient toujours heureux d’entendre une voix douce leur parler, mais pour le plus grand nombre d’entre eux, l’horreur recommençait avant même qu’ils ne soient complètement sortis de l’anesthésie.
Passer ces deux jours et demi dans cet endroit m’a fait prendre conscience que, si
nécessaire, tout ce que reçoit un chien, une fois qu’il est tombé aux mains des autorités, c’est la violence, l’humiliation, un chenil d’une saleté immonde et, s’il a de la chance, une poignée de croquettes lancée sur le béton toujours mouillé et crasseux.
On pense qu’Ils ne méritent pas de traitement plus décent car ils sont considérés comme des « détestables mangeurs d’enfants ».
La seule interaction humaine que reçoit un chien une fois qu’il se trouve dans un refuge public est par le biais des manches à lasso, des pinces métalliques ou
des coups de pied.
Les réactions des chiens à mes tentatives de caresses n’étaient donc pas étonnantes, car tout ce que représente l’être humain à leurs yeux, c’est la douleur. Les faire venir dans la salle de chirurgie pour la stérilisation nécessitait qu’ils y soient traînés par le cou, comme des sacs de patates, puis enfermés dans des cages métalliques étroites qui étaient ensuite traînées brutalement sur le béton avec des bruits d’enfer.
Ensuite, et parce que la plupart des chiens étaient rendus fous de peur par ce traitement, il fallait avoir recours de nouveau aux lassos afin de les immobiliser lors de l’injection des tranquillisants.
Après l’opération, les chiens étaient installés dans des cages métalliques plus grandes jusqu’à leur réveil.
Je ne sais pas si je pourrais vous faire comprendre l’ampleur de la terreur et du
désespoir qui se faisaient écho dans les cris de ces chiens et combien de douleur et
d’humiliation leur sont infligées chaque jour.
Ils sont entourés de l’indifférence et rien ne peut ébranler ses murs épais.
En premier lieu, je pouvais constater leurs efforts désespérés pour s’échapper de l’horrible manche à lasso ; ils luttaient et trébuchaient tout au long du chemin
vers le chenil.
Mais parce que personne ne pouvait ou ne voulait le faire cesser, ils se sont
résignés à leur misère.
Je ne puis que vous dire que ce sont les cris les plus désespérés que j'aie jamais entendus de toute ma vie.
Un mélange de notes basses et de notes aigues, qui retombent lentement, ce qui vous fait ressentir tout ce qu’ils doivent endurer dans ces lieux affreux.
Ils hurlent comme le ferait tout animal blessé, mais en hurlant ils comprennent
que c’est complètement en vain et que leurs voix ne seront jamais entendues.
Tout ce qui leur reste est de crier leur tristesse comme le ferait un enfant orphelin qui tente de se consoler seul, à la fin du jour, car c’est tout ce qui lui reste.
La plupart des chiens étaient des squelettes ambulants, couverts de blessures et de puces.
Sur leurs pauvres corps, on pouvait constater les tortures journalières qu’ils doivent endurer, pour aucune autre raison que le fait d’être nés sans rien demander.
La répartition des chiens à l’intérieur du chenil est totalement idiote, du moins du point de vue d’une personne sensée ; c’est une des stratégies employées par les autorités pour économiser des « injections létales ».
Placer un petit chien dans le même box avec 3 ou 4 grands chiens assure que le petit ne recevra guère de nourriture, s’il en reçoit du tout.
On ne peut accuser nos hommes politiques de gaspillage de l’argent public.
J’ai demandé aux « dogcatchers », en essayant de toutes mes forces de cacher ma colère et mon dégoût, pourquoi ils ne pouvaient arranger des boxes réservés aux petits chiens.
La réponse qu’on me donnait était, « parce que nous ne le pouvons pas. »
Aussi simple que cela !
J’aimerais vous expliquer, autant que possible, ce que représente un manche à lasso dans la vie d’un chien qui se trouve dans un refuge public.
(Je crois en fait que tous les êtres pourraient s’y identifier.)
En le voyant s’approcher, le chien sait qu’une autre manifestation de la violence humaine l’attend (et il semble qu’aucun refuge public n’en manque!)
Les chiens sont morts de peur jusqu’à ce que le lasso soit placé sur le cou.
Il faut
parfois de longues minutes avant que les dogcatchers ne réussissent, et ensuite vient l’étranglement.
Même avant de le ressentir, les chiens commencent à hurler, à mordre dans
l’air, leurs yeux s’écarquillent sous la peur écrasante qui les submerge ; ils commencent à haleter ; leur coeur bat à en exploser.
Mais cela ne suffit guère, ce n’est que le début.
Si la méthode d’attraper le cou du chien dans le lasso prend trop de temps, et que le chien réussit à échapper à la dextérité du dogcatcher, ce dernier se fâche et redouble de détermination et de brutalité ; parfois, puisque le chien se débat tant pour s’en échapper, le lasso se renferme autour de son museau, de sa poitrine ou de son abdomen, ou le chien voit ses pattes avant tordues… mais cela ne fait rien, le lasso les enserre, c’est son rôle après tout.
Puis vient la suffocation. La terreur atteint son paroxysme ; le chien continue de hurler, il s’étrangle, il suffoque, il se débat, il halète encore plus fort, il pisse sous lui.
Mais le dogcatcher ne se laisse pas impressionner par ces actions ; ce n’est qu’un jour de travail ordinaire, et le lasso ne va pas se desserrer parce que rien de tout ceci ne réussit à faire ressentir quoi que ce soit aux dogcatchers.
Tout transfert ou toute manipulation d’un chien à l’intérieur d’un refuge public se fait quasi exclusivement avec le manche à lasso.
Une fois attrapé, le chien est traîné derrière le dogcatcher quelle que soit la distance, quelle que soit la force ou la façon dont le lasso l’enserre, en dépit de tous ses hurlements et de tous ses efforts pour s’en libérer, avec la même indifférence et la même volonté que lorsqu’on traîne un sac de ciment.
Parce qu’ils
savent que c’est une procédure difficile (par rapport à leurs propres efforts, non pas à la douleur et l’humiliation infligées à l’animal), les dogcatchers semblent complètement insensibles à ce qui se passe derrière eux et ne se concentrent que sur la raison de leurs actions.
Ce n’est qu’une journée de travail ordinaire.
J’ai quitté cet endroit le coeur totalement brisé, dégoûtée, terrifiée.
Il m’est impossible de regarder autour de moi et de comprendre comment les gens peuvent vivre si paisiblement, comment il peut y avoir encore tant de beauté dans ce monde, alors qu’à l’intérieur des camps d’extermination de la Roumanie il y a tant de douleur et de souffrance.
Ne pouvons-nous pas vivre sans faire de mal aux autres, surtout ceux qui ne sont pas en mesure de se défendre ?
En tant qu’être humain typiquement égoïste, je voulais me sauver, rentrer chez
moi en courant, m’entourer de ma famille et mes deux chiens et oublier tout ce que j’avais vu.
Je voulais oublier les choses horribles que j’ai vues dans ce refuge public (je suis certaine qu’ils sont tous pareils sinon pires), oublier que des milliers d’animaux souffrent affreusement chaque minute de leur vie.
Ils ne comprennent pas les raisons ; je le voyais dans leurs yeux, en plus de la terreur, toujours la même question : « pourquoi ? ».
Je ne puis le comprendre moi-même ; le pouvez-vous ?
Malheureusement, je n’ai pas de solution pour sauver ces pauvres bêtes des crocs voraces de ceux qui « aiment les humains. »
Il y en a trop qui sont déjà morts ; trop qui ne sont que des âmes mortes dans des carcasses vides, drainées par la faim et la maladie.
Seul un nombre limité pourront encore être sauvés de cette suppression futile et barbare.
Mais je sais que nous pourrons faire cesser cette blague sinistre (oui, « blague », faite aux dépens de ces idiots qui continuent de croire que « l’euthanasie humaine » arrêtera quoi que ce soit), au moins à l’avenir, un avenir plus proche que vous ne le croyez.
Faites stériliser vos animaux de compagnie ; demandez de l’aide et organisez des campagnes de stérilisation dans votre ville ; parlez-en à autant de gens que vous ne le pouvez et persuadez-les de stériliser leurs animaux ; allez voir votre maire et votre conseil municipal et essayez de les convaincre que c’est la seule solution ; donnez ou trouvez des donneurs pour financer des cliniques de stérilisation ; affichez des pancartes ; écrivez des articles ; tatouez-le sur votre front.
La stérilisation en masse de tous les chiens, errants ou non, est notre seul espoir de
salut.
Le mal doit être arraché à la racine, comme dans toute histoire de monstres suceurs du sang des innocents.
Bien qu’il ne s’agisse pas du sang de nos propres corps, nos âmes doivent être sauvées de la damnation éternelle.
Que nous craignions au moins cela !
P.S. Si quelqu’un se demandait pourquoi nous étions présents pour stériliser les chiens dans des conditions tellement inacceptables, je vous répondrai que les chiens se reproduisent n’importe où, malgré leur état de maigreur ou de santé.
Si nous pouvions éviter que d’autres vies ne reçoivent le même traitement indigne que les parents, c’est donc ce qu’il fallait faire.
Au moins ces pauvres chiens ne seront pas torturés par les hormones et les mises bas.
La stérilisation n’est jamais inutile, jamais inappropriée, tant qu’elle peut éviter à d’autres animaux une vie de torture."

Merci à Michelle L Warmath pour la traduction.
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MessageSujet: Re: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitimeSam 12 Avr 2014 - 22:22

Un article à paraître incessamment sur le site de France Télévision à partir d'un dossier de presse fourni par l'asociation Mukitza :

<< La Roumanie gère tant bien que mal l’épineux dossier des chiens errants.
Ils sont des dizaines de milliers dans le pays, et leur chasse est régulièrement relancée par des faits-divers sanglants.
La capture des chiens et leur euthanasie ont généré un trafic juteux qui scandalise les associations de défense des animaux.
Un triste fait divers en septembre 2013 a réveillé l’opinion publique
Suite à l’attaque par des chiens de deux enfants et à la mort de l’un d’eux, le gouvernement a voté une loi sur l’élimination des chiens errants.
Désormais tout canidé errant est capturé et, s’il n’est pas adopté, euthanasié au bout de 14 jours.
Cette loi a provoqué un tollé.
Les défenseurs des animaux ont demandé sa supression car selon eux, elle ne fait qu’entretenir un trafic immonde et multiforme.

Un problème récurrant
La Roumanie semble avoir été confronté depuis toujours au problème des chiens errants.
Mais le problème s’est amplifié sous la période communiste.
L’exode rural, organisé par le pouvoir qui rasait les villages, a concentré la population dans des immeubles.
Les animaux de compagnie sont restés dans la rue.
A la chute du régime de Ceausescu les chiens errants se comptaient par millions.
Régulièrement des campagnes d’éradication massive étaient organisées aux résultats très limités.

Les fourrières sont des mouroirs
Aujourd’hui le ramassage se veut systématique.
Les chiens capturés sont placés dans des mouroirs qui n’ont de refuge que le nom.
Par cupidité, les responsables de ces centres les laissent mourir de faim ou de maladie.
Parfois, les chiens sont immédiatement éliminés à leur arrivée, avant les 14 jours légaux.
La fourrière touche la prime de capture, mais ne s’embarrasse pas de l’animal.

Julie Sanders, la responsable pour le Royaume-Uuni de l’organisation FourPaws (4Pattes) raconte :
« J’ai visité un de ces refuges où les conditions d’hébergement sont soit-disant meilleures… Malgré tout, les chiens sont enfermés dans des cages surpeuplées avec un tout petit abri. Ils couchent à même le sol trempé. L’odeur est insupportable et le bruit assourdissant... »

Un autre témoignage nous vient de l’association française Mukitza qui milite pour le bien des animaux.
Une de ses militantes, Elena, écrit à propos du refuge d’Orestie à l’ouest de la Roumanie qu’elle découvre en janvier 2014:
« Aujourd’hui c’était le pire que j’ai vu.
Tous les chiens malades, affamés, assoiffés.
Soit les seaux sont vides, soit l’eau est gelée. »

Un trafic bien huilé
La loi, dont on peut discuter à l’infini de la justesse ou de l’horreur, entretient un trafic bien profitable et déjà largement répandu.
Un responsable d’association de défense des animaux (FNPA) Codrut Feher dresse un état des lieux explosif.
Car, ces dernières années, pour répondre à la peur des chiens errants, les autorités ont ouvert leur porte-monnaie.
A Bucarest la fourrière a dépensé 13 millions d’euro en sept ans.
Un montant estimé entre 25 et 40 millions pour l’ensemble du pays.
Une somme qui a attisé bien des convoitises.

La nourriture n’est pas le poste budgétaire le plus lourd.
Seulement 3% des dépenses reconnait la municipalité de Brasov.
Cette dernière a préféré louer une ancienne porcherie plutôt que de construire son propre refuge.
En huit ans, elle a dépensé 170.000 euros en loyers pour un service lamentable.
22400 euros ont été dépensés en substances léthales sans que personne ne vérifie le nombre de chiens capturés.
Au final il suffisait de minimiser les morts naturelles pour exagérer le nombre d’euthanasies.
Des produits achetés illégalement et qui ont pu servir à la consommation humaine de drogues.

Euthanasies à la chaîne
Dans certaines villes, la fourrière est devenue une activité extra-communale.
Elle intervient dans d’autres communes qui n’ont pas ce service.
Un travail «à la chaîne» qui est bien sûr facturé.
Ainsi dans la ville de Botosani, le vétérinaire Christian Petru Pencu a revendiqué l’élimination de 230 chiens en deux heures, certainement pas par injection, vu la vitesse.
Car selon la police il faut dix minutes pour une injection.

Constanta sur la Mer Noire est le repère d’une véritable «mafia canine».
La ville a dépensé 1,2 million d’euros pour un chenil qui est un mouroir.
En fait les chiens y sont tués dès leur arrivée selon un document de Deutsche Welle.
Et pour que la filière ne se tarisse pas, des chiots, provenant d’autres régions, sont régulièrement déversés dans les rues de Constanta !

La princesse Maja de Hohenzollern, activiste de la cause animale, avance le nombre de 10 millions de chiens tués en 10 ans en Roumanie.
Elle a mené une campagne dans la ville de Brasov où 300 chiens étaient tués chaque jour, bien souvent le crane fracassé.
La militante a gagné.
La municipalité doit bientôt signer une charte où elle s' engage à ne plus tuer de chien, ni à récupérer des chiens dans d’autres villes.

Une petite avancée, mais pour les défenseurs des animaux, il reste encore beaucoup à faire. >>
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MessageSujet: Re: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitimeSam 12 Avr 2014 - 22:24

On ne peut plus ignorer qui se passe en Roumanie ! Partagez les infos, diffusez partout, participez aux manifs du 17 mai... il faut que ça s'arrête !
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MessageSujet: Re: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitimeVen 2 Mai 2014 - 8:57

quel silence assourdissant... ils peuvent crever, les chiens roumains, tout le monde s'en fout !

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MessageSujet: Re: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitimeVen 2 Mai 2014 - 8:57

Pour ceux/celles qui sont sur FB :

https://www.facebook.com/events/652807288102540/670241849692417/?ref=notif¬if_t=event_mall_reply
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MessageSujet: Re: 17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE    17 mai Journée Internationale STOP AU MASSACRE EN ROUMANIE   Icon_minitime

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